Plan :
1) Intro :
- Le mouvement
présenter
- L’origine du
recueil
- Problématique :
comment le poète montre-t-il la destruction de son amour en fessant rappelle a
la nature ?
2) Axe
1 : la structure du poème :
- Gros modo des vers.
-le regard en
arrière (figure de style+ exemple)
- le strophe qui
parle des animaux.
3) Axe 2 : l’étude de la temporalité
(temps/sentiments) et la permanence :
-distance (lieu)
-la flétrissure
et l’effet sur le poète
- la permanence des dames qui donne le sentiment du l’éloignement du l’héro
-la contradiction
de la situation avec la nature
4) Axe 3 : lectures plurielles
-un amour naïf
impossible
-le souvenir de
la femme aimée et perdue :
-une réflexion
sur le souvenir
5) Conclusion :
-Message
Le surréalisme est un courant
littéraire et artistique qui débute du XXème
siècle visant à libérer la création de toute contrainte et de toute logique. Nous trouvons dans ce courant Apollinaire un des plus grands poète, il fut l'un des précurseurs du surréalisme. Il publia son recueil Alcools en 1913 dont le poème Mai est présenté où il
expose l’absence de son amour qui attriste sa vision. Comment donc le poète montre t-il la description de
son amour en faisant rappelle à la nature?
Pour ce faire, premièrement, nous allons analysé la structure du poème,
ensuite, l’étude de la temporalité et la permanence et enfin, les lectures
plurielles de ce poème.
Au préalable, Mai se présente sous
la forme de quatre strophes (trois quatrains et un quintin) et les vers sont
tous des alexandrins. Les rimes sont embrassées (arrière, mai, aimée,
paupière), riches (rosiers/osier), féminine (montagne/s’éloigne.)
En premier lieu, chaque strophe détermine un sentiment différents, mais qui revient à conclure que a un registre lyrique. Dans la première strophe, nous voyons donc que les personnages mis en scène sont (« les dames » sur la rive « qui regard [ent] » V2) ; ainsi qu’un jeune homme qui passe (« en barque sur le Rhin » V1). Notons que les dames sont inaccessibles car elles sont (« en haut de la montagne » V2) alors que (« la barque s’éloigne »V3), emmenée par le courant. Où nous donne l’impression d’un thème d’une rencontre est impossible.
En premier lieu, chaque strophe détermine un sentiment différents, mais qui revient à conclure que a un registre lyrique. Dans la première strophe, nous voyons donc que les personnages mis en scène sont (« les dames » sur la rive « qui regard [ent] » V2) ; ainsi qu’un jeune homme qui passe (« en barque sur le Rhin » V1). Notons que les dames sont inaccessibles car elles sont (« en haut de la montagne » V2) alors que (« la barque s’éloigne »V3), emmenée par le courant. Où nous donne l’impression d’un thème d’une rencontre est impossible.
Dans la deuxième strophe
illustre l’image de la barque qui file sur le fleuve et les (« vergers
fleuris » de la rive demeurent en arrière »V5) se
(« fig[e] » V5) dans la mémoire du jeune homme. De même, le concept
des (« pétales tombés des cerisiers de mai »V2) entraîne le souvenir
de la femme. Où ca nous donne l’impression de l’auteur et son regard en
arrière.
De plus, on trouve une analogie
entre les pétales vifs des fleurs et les ongles de son amie; ainsi qu’entre
(« les pétales flétris ») et ses paupières. En raison de cela, le
poète emploi une métaphore (« les pétales tombes des cerisiers de mai sont
les ongles » V6-7) et une comparaison («Les pétales flétris sont comme ses
paupières »V8) où cela donne l’imagination des pétales flétris qui lui
rappel les paupières (qui désigne ici la mort) de sa belle-aimée.
De suite, Dans les deux premiers
quatrains. Le poète évoque sa bien-aimée qu’il a tant admirée. Tandis que dans
les deux dernières strophes, le poète s’efface et devient un simple narrateur
qui nous présente une troupe d’un cirque local, représenté par des animaux
(« un ours un singe un chien »V2).
En outre, ces animaux sont menés
par des bohémiennes qui suivent leur roulotte, tirée par un âne. De même, cette
strophe ne nous dépeint pas les soldats car on entend (« fifre
lointain »V5) d’un régiment. Par rapport à la dernière strophe, les ruines
de la flore (« ruines de lierre de vigne
vierge et de rosiers » V14-15) sont présentes. Pourtant, elles sont
parées et embellies par « (le joli mai » V14). Enfin, il montre le large
mouvement du (« vent du Rhin »V16) qui (« secoue sur le
bord les osiers et les roseaux jaseurs et les fleurs
nues des vignes »V16-17).
En deuxième lieu, dans le poème le thème
de la temporalité est traité sous deux formes.
Tout d’abord, il est sous forme d’un passage. En effet, l’histoire se
déroule au prés du fleuve où une rencontre amoureuse est impossible a cause
d’un courant puissant entraîné une faible barque. En addition, le poète nous
illustre des différentes vues splendide et plusieurs paysages autour du Rhin.
D’ailleurs, la deuxième strophe fait rappel
aux cycles de la saison, en mentionnant les cerisiers de mai, où leurs pétales
tombent et flétrissent. En effet, l’auteur régulière une dégradation de la
beauté, dont la fin est la mort. En le présentant sous forme d’un lien entre la
fuite du temps et la jeunesse. Nous obtenons aussi une
contradiction entre le mois de mai, ce qui le mois de la renaissance et du
printemps, et son amour qui est mort « ruines »
De plus, l’auteur dénote le seul moment de
ravissement dans la troisième strophe en disant « un air de
régiment » en le représentant sous forme d’un éloignement. Cela nous mène
à déduire que rien n’est permanent, tous s’en vole, que ce soit pout la joie ou
l’amour.
A propos, la deuxième forme c’est la
permanence, dont il est plus limité. Les dames sur le haut de la montagne dans
la première strophe symbolisent l’amour impossible. De plus, dans la deuxième
strophe montre l’éloignement du protagoniste en continuant de voir les dames
(« … » V1). A la dernière strophe, nous trouvons une contradiction;
l’image du vent qui secoue et les plantes retissent au grand souffle
destructeur.
En dernier lieu, il s’agit d’une aventure
impossible, tantôt imaginée par le personnage (str.1) Celui-ci évoque ensuite
un grand amour passé et perdu (str. 2). Le poète décrit tous ce qu’il aperçoit
sur les rives du fleuve durant sa promenade. En remarquant, que l'absence
d'amour attriste sa vision.
Lorsque les dames sont « haut de la montagne » et de l’autre coté le jeune homme en barque sur le Rhin, ca témoigne la rencontre impossible. De même, lorsqu’il dit « Vous êtes si jolies mais» cela confirme le sentiment d’admiration avec amplification, qui représente sous forme de hyperbole.
Si nous y remarquons qu’il y a un jeu de mots : « le mai le joli mai » sur les sonorités. En addition le poète se résigne en tenant une personnification de sa mélancolie avec « pleurer les saules » cela signifie que les saules pleurent l’amour impossible.
Si nous y a remarquons la comparaison du premier et du dernier quatrain (qui s'ouvrent sur les mêmes mots : «Le mai le joli mai», v. 1 et 14) révèle la distance entre l'espoir du début et la tristesse de la fin. L'étude de la première strophe révèle aussi une expression pleine de sens. « C’est jolies mais. » Ainsi, le rêve de bonheur s'efface devant (mais) qui est une réalité souffrante, que l’amour est impossible à cause de cette fameuse distance.
Le poète utilise le passé composé « celle que j’ai tant aimée » (au vers 7) afin d’illustrer que l’amour est fini, mais il ne voulait pas que cela se passe. En cinquième vers, lorsque le poète exploit les « vergers fleuris » il veut dire que avec le temps passe, les souvenirs diminueront. Mais ils sont comme figés, ce qui représente la permanence du souvenir, a cause de l’amour impossible.
De même, les adverbes intensifs « si » et « tant » montrent bien la dimension lyrique d'un narrateur qui est malheureux. Et les rimes embrassées qui parcourent le poème, font un rappel avec l’histoire du poète. Où on pourra déduire que c’est un registre lyrique qui décroche comme une exaltation d’amour, de mélancolie et de souffrance.
Enfin, on peut considérer le poème dans son ensemble comme une réflexion sur le souvenir. La première strophe, rappel d'une rencontre qui symbolise l'impossibilité de l'amour heureux. La deuxième évoque la femme dont le souvenir ne cesse de troubler le poète. La troisième peut illustrer, la difficulté avec laquelle s'effacent les souvenirs. Quant au dernier quatrain c'est le processus même du souvenir qu'il décrit.
Lorsque les dames sont « haut de la montagne » et de l’autre coté le jeune homme en barque sur le Rhin, ca témoigne la rencontre impossible. De même, lorsqu’il dit « Vous êtes si jolies mais» cela confirme le sentiment d’admiration avec amplification, qui représente sous forme de hyperbole.
Si nous y remarquons qu’il y a un jeu de mots : « le mai le joli mai » sur les sonorités. En addition le poète se résigne en tenant une personnification de sa mélancolie avec « pleurer les saules » cela signifie que les saules pleurent l’amour impossible.
Si nous y a remarquons la comparaison du premier et du dernier quatrain (qui s'ouvrent sur les mêmes mots : «Le mai le joli mai», v. 1 et 14) révèle la distance entre l'espoir du début et la tristesse de la fin. L'étude de la première strophe révèle aussi une expression pleine de sens. « C’est jolies mais. » Ainsi, le rêve de bonheur s'efface devant (mais) qui est une réalité souffrante, que l’amour est impossible à cause de cette fameuse distance.
Le poète utilise le passé composé « celle que j’ai tant aimée » (au vers 7) afin d’illustrer que l’amour est fini, mais il ne voulait pas que cela se passe. En cinquième vers, lorsque le poète exploit les « vergers fleuris » il veut dire que avec le temps passe, les souvenirs diminueront. Mais ils sont comme figés, ce qui représente la permanence du souvenir, a cause de l’amour impossible.
De même, les adverbes intensifs « si » et « tant » montrent bien la dimension lyrique d'un narrateur qui est malheureux. Et les rimes embrassées qui parcourent le poème, font un rappel avec l’histoire du poète. Où on pourra déduire que c’est un registre lyrique qui décroche comme une exaltation d’amour, de mélancolie et de souffrance.
Enfin, on peut considérer le poème dans son ensemble comme une réflexion sur le souvenir. La première strophe, rappel d'une rencontre qui symbolise l'impossibilité de l'amour heureux. La deuxième évoque la femme dont le souvenir ne cesse de troubler le poète. La troisième peut illustrer, la difficulté avec laquelle s'effacent les souvenirs. Quant au dernier quatrain c'est le processus même du souvenir qu'il décrit.
En guise de conclusion, nous pouvons déduire vraisemblablement
que ce poème est sous forme d’une boucle fermé, ou autrement dit, c’est un
poème d’un phénomène cyclique. Or le poète nous décrit d’abord son rencontre
impossible, puis sa bien-aimée, ensuite il s’efface et une troupe de cirque
prend sa place et enfin il revient sur son point départ ce qui est la rencontre
impossible.
Tache écrite n#1
Objectifs d’apprentissage
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Thème(s)
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Partie du cours
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Type de texte de la tache
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Titre de la tache
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-Considérer les contextes historiques, culturels et sociaux changeants dans lesquels des textes particuliers sont écrits et accueillis.
-Monter que les éléments de la forme du texte, le genre et la structure peuvent être considères non seulement comme des facteurs influençant le sens, mais comme des éléments soumis à l’influence du contexte.
-Comprendre les attitudes et les valeurs exprimées par les textes littéraires, et leurs effets sur les lecteurs
-Examiner les œuvres littéraires en détail.
-Analyser des éléments tels que le thème et la prise de position éthique ou les valeurs morales de textes littéraires.
-Comprendre et utilisée convenablement les termes littéraires.
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Un chapitre dictionnaire
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4e partie
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roman
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“ La suite de Bel-Ami”
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Justification :
Comme nous le savions, Bel-Ami est un opportuniste qui s’attache aux femmes en utilisant son désir sexuel, pour accomplir son objectif ou sa revanche sociale.
Mon objectif de continuer la fin de Bel- Ami en écrivant une fin crédible sous une façon d’écriture des romans, dont ma tache écrite commencera par un diner avec la nouvelle famille ; Monsieur et Madame Walter, Bel-Ami et Suzanne.
Dans cet extrait de roman, je découvrirai la vérité que Bel-Ami avait faite avec Virginie, à Suzanne, et la question c’est comment Suzanne va réagir ? J’ai choisi cette partie, parce que dans le roman ce n’est pas décrit la personnalité de Suzanne, où cela me donne la chance de savoir manipuler l’histoire, parce que ni bel-ami connaisse sa personnalité. Mon message sera « toute vérité ne se cache jamais. »
Ma cible sera intitulée aux adolescents, parce que ma tache écrite sera plus intéressante à eux qu’aux adultes, grâce à l’étude de ce roman dans plusieurs écoles. De plus, cet âge est un âge d’apprentissage à propos la vie et ces leçons. Alors cette tache écrite peut leur donner une leçon qui pourra être inséparable dont ils prendront un exemplaire pour s’avertir que la vérité d’une personne ne se cache à jamais.
Personnellement, je trouve que chaque histoire doit avoir une leçon où je pourrai m’inspirer ou bien tirer une leçon a ma vie. Donc lorsque je lis une histoire où ça me donne l’image des conséquences d’une situation, cela renforce ma volonté. Tenant un exemple de la fin de Bel-ami, Maupassant l’avait créé avec une manière que le héros obtient son ascension, en jouant sur son désir sexuel avec les femmes.
Mais, je trouve que cette fin n’est pas crédible, elle ne possède pas une leçon plausible, parce que Suzanne est la fille de Mme. Walter et que c’est impossible qu’un humain avec un comportement tricheur puisse réussir pour toujours à mentir et de ce cache derrière la vérité.
Alors j’ai décidé de faire une fin où la vérité de Bel-Ami se découvre, afin d’affecter les émotions des adolescents en leur faisant penser que la vérité est toujours présente, elle pourra être absente pour un long terme, mais elle reviendra un jour.
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